Les nouvelles de Nouvelle-France 3 août – 104 histoires de Nouvelle-France - La radio Internet de la Nouvelle-France

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Les nouvelles de Nouvelle-France 3 août

Vous êtes-vous déjà demandé ce qui s’était passé aujourd’hui dans l’histoire de la Nouvelle-France? Pour le savoir, voici les nouvelles de Nouvelle-France pour le 2 août.
NOUVELLES INTERNATIONALES – 3 août 1701 – À Montréal, les négociations entre le gouvernement de la Nouvelle-France et les représentants de 39 nations amérindiennes ont été assombries par le décès du grand chef Kondiaronk, hier, à l’Hôtel-Dieu. Âgé de plus de 70 ans, il s’était converti au catholicisme et c’est pourquoi des funérailles ont eu lieu, aujourd’hui, dans l’église Notre-Dame. Il y a 2 jours, il avait prononcé un long discours qui a marqué un tournant dans les discussions. Selon nos sources, il ne resterait plus qu’à s’entendre sur l’échange des prisonniers. Les négociations ont repris après les funérailles.
NOUVELLES NATIONALES – 2 août 1717 (hier) — Le roi Louis a ordonné, hier, que tous les curés et autres ecclésiastiques des colonies françaises soient dispensés de communiquer des actes de justice et autres documents gouvernementaux pendant la messe. «En 1695, Louis XIV avait déjà demandé aux ecclésiastiques de se concentrer sur la messe et de laisser les affaires temporelles en dehors de l’église. Mais, de toute évidence, plusieurs continuaient à le faire.» Les communications gouvernementales seront assurées par les huissiers, sergents et notaires à la sortie de la messe.
NOUVELLES RÉGIONALES – 3 août 1701 – À Québec, une entente a été conclue aujourd’hui entre les autorités de la ville et le charretier Hillaire Sureau dit Blondin pour le nettoyage des rues de la basse-ville. À chaque semaine, généralement le samedi, Blondin ramassera tous les déchets et les immondices que les habitants auront laissés devant leurs maisons en commençant à la maison de Guillaume Paget dit Carsy pour, ensuite, aller les porter sur la grève. Blondin sera payé 4 livres pour chaque jour de travail.
3 août 1721 — Et pour terminer, à Deschambault, Pierre Abel a été condamné, aujourd’hui, à loger et nourrir son beau-père, Antoine Dionne, âgé de 90 ans et ce, pour le restant de sa vie. Un autre gendre de Dionne, Barthélémi Gobille, qui réside à Saint-Jean, sur l’Île d’Orléans, devra également assurer 50% des dépenses.

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